Photos 2005

Spectacle de poésie à l'Hôtel de Ville de Bruxelles
Le 10 mars 2005

Où "Vitrifolk" présentait une série de danses roumaines en illustration.


Le merveilleux décor qui nous attendait
dans l'Hôtel de Ville de Bruxelles.


L'ultime répétition des perfectionnistes.


Juste avant l'entrée en scène, dans les magnifiques
couloirs de l'Hôtel de Ville.


Les moins "frileux" de la troupe.


Quelques pas sur le parvis de l'Hôtel de Ville
juste après notre passage sur scène.
Pas de musique, mais quel enthousiasme!
Les japonais présents sur la Grand-Place n'en revenaient pas...


La magie de la Grand-Place de Bruxelles, la nuit...


Une "petite laine" sur le dos et nous nous sommes retrouvés
devant notre célèbre "Manneken-Pis, pour une petite danse "a capella".

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Lors du retour, un restaurateur de la "Rue des Bouchers"
nous a invité à un petit pas de danse avec lui...


A l'issue de la soirée et avant la réception de clôture,
quelques instants de détente dans les salons de l'Hôtel de Ville.


Remercions les organisateurs de cette très belle soirée de poésie :
Juliette Aderca, poétesse franco-roumaine auteur des poèmes de cette soirée,
Bruno de Lille, Echevin des Affaires flamandes, de l'Egalité des Chances et de la Solidarité Internationale, de Bruxelles,
Carmen Hopâteanu, présidente de la Maison Belgo-Roumaine (Arthis).


Dans le cadre du mois de la femme
Un gratin de récitants – Eve Arnaud, François Mairet, Monique Dorsel, Charles Kleinberg – a été réuni jeudi soir à l'Hôtel de Ville de Bruxelles, à l'invitation de Bruno de Lille, échevin de l'Egalité des chances et de la solidarité internationale.
En une soirée exceptionnellement diversifiée, c'était la fête à la poésie de Juliette Aderca (d'origine roumaine, bretonne, belge) pour la sortie de son dernier reçeuil « Ombres en camaîeu » (éd. Eole).
Cette poésie, qui parle de l'aventure humaine « par-delà les pôles de l'esprit », a été dite (aussi en traduction néerlandaise), chantée (Ismini Giannakis), dansée, mimée (Catherine de Kegel), prolongée par le tambour africain (Marc Maîkissa) ou la flûte (Karen Boussemacre) et la harpe (Cécile Robbe), de Donizetti à Joseph Jongen, en passant par Pelemans, Hoyois, Wygthie …
Organisée à la Maison Belgo-Roumaine (Arthis), cette soirée s'était ouverte par la frénésie des danses roumaines du groupe Vitrifolk, et refermée sur une dynamique différente : le « jazz-poème » de Lysa Dee, une voix nouvelle-née dont on reparlera sûrement.
11-02-2005 - Source : "La Libre Belgique".


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